■ Il était une fois… ■
3 avril 2011 § Poster un commentaire
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Je m’avance et je sens tinter le poids léger du monde dans mes mains. « Lourde légèreté. » Que la balance est juste entre réel et songe, entre la soif et l’eau ! Quelle tendresse exacte sépare l’immobile du mouvement et quel dieu cueille au-dedans de nous cette prière – ou cette absence de prière ?
… |Benjamin Fondane, Ulysse, XXXII (extrait), cca. 1929-1944|
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