■ Hommage à Martha Argerich ■
5 juin 2011 § Poster un commentaire
blanc
dans la ferveur des hachures
comme si l’éclat fléchissait
ôtait un son
entaille :
même la mesure
trouble
le noir
puis plus rien
– l’exacte partance
du ciel retourné
silence
pointe son œil étroit
aphasie rythmique
derrière les voûtes se cache toujours
quelque paix perpétuelle
la nuque
plie
soudain
ombre qui joue
et s’efface
ce que nous sommes
© Texte et image : Luiza Palanciuc
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Tagué :Luiza Palanciuc, Martha Argerich, musique, piano
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